La maîtrise des coûts de l’énergie et la souveraineté du pays incitent la France à relancer son industrie nucléaire. Fleuron des années 70, c’est aujourd’hui un élément essentiel du mix énergétique de notre pays. Les tensions géopolitiques, la nécessité de réduire notre empreinte carbone par moins de dépendance aux énergies fossiles et l’importance d’aller vers un monde plus durable font qu’il n’y a jamais eu de meilleur moment pour devenir ingénieur dans le nucléaire.  

EPR2, SMR, Melox… de nombreux défis techniques qui nécessitent les compétences d’ingénieurs.

Avec 10 000 recrutements par an pour les dix prochaines années, l’industrie devra actionner simultanément quatre leviers :

  • Rendre la filière plus attractive auprès des jeunes ;
  • Spécialiser et réorienter certains profils vers le nucléaire ; 
  • Réorganiser la filière pour déployer un mode d’ingénierie distribuée ; 
  • Développer de nouvelles capacités à l’international.