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Data & Analytics

Données personnelles : le modèle d’après

Etat des lieux de l’écosystème du self data

L’exploitation des données est un enjeu primordial tant pour les entreprises que les administrations.

Elle engage au centre des débats, la question de la place de l’individu et de la protection des données personnelles.

Le RGPD (Règlement Général pour la Protection des Données) entré en vigueur en 2018 renforce le principe d’autodétermination informationnelle. Il crée de nouveaux droits, dont le droit à la portabilité de ses données, qui participe au « dé-silotage » des acteurs de l’économie, favorise la concurrence et pousse à la création d’écosystèmes et nouveaux usages.

Ces mutations entrainent le développement d’un nouveau modèle appelé « self data » qui se définit comme « la production, l’exploitation et le partage de données personnelles par les individus, sous leur contrôle et à leurs propres fins » (définition donnée par la Fondation Internet Nouvelle Génération).

C’est le sens de l’histoire, et le sens des directives récentes de la Commission Européenne ; la mise en place d’écosystèmes – avec une dimension « éthique » – où circulent les données, y compris personnelles, se développent de plus en plus.

  • Quels sont les enjeux économiques derrière le contrôle des données personnelles ?
  • Quelles sont les nouvelles logiques de partage entre individus, détenteurs « historiques » des données et nouveaux acteurs qui les utilisent ?
  • A quoi ressemble un écosystème self data ?
  • Quels sont les usages et leurs niveaux de maturité ?
  • Quels enjeux politiques et impacts du self data pour les collectivités ?

La Banque des Territoires accompagnée de Capgemini Invent a mené une étude approfondie pour répondre à ces problématiques et dresser un état des lieux de ce nouvel écosystème dédié au self data.

Découvrez dans cette vidéo enregistrée en collaboration avec la Banque des Territoires les nouvelles opportunités que le self data offre aux smart-cities.